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Réunion stratégique [Ordre des Chevaliers]

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12.10.17 20:23
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Ithyrill avait disparu… Ithyrill avait disparu bon sang. Disparu ? Disparu ? Lui ? Quelle honte, et dire que je lui avais accordé toute ma confiance, et dire que j'avais transmise cette confiance à notre Empereur. Quel déshonneur.

Les jours ayant suivit la disparition de mon second furent éprouvant. L'Empereur dû promouvoir sa fille en urgence pour remplacer ce foutu traître. Araignée pour araignée je n'avais pas perdu au change, et Abÿgäl avait toujours été une des plus méritantes de mes sœurs. Elle et son frère étaient des exceptions, comment pouvait-il en être autrement de la progéniture du Saint Empereur ? Son sang coulait en eux et ils s'en montraient digne. Peu de sentiments pouvaient égaler la fierté de mener de tels êtres vers leur destinée. Malgré tout, Abÿgäl n'avait pas été préféré à son aîné pour rien… Il avait fallu qu'Azkhalon soit l'héritier. Je reconnaissais bien sûr la valeur de cet être aux pouvoirs extraordinaires. Jamais je n'aurai remis en doute sa loyauté et son désir de mener l'Empire aux sommets ; mais je ne pouvais approuver sa vision de la guerre. Il était un impulsif, un être vaniteux incapable de se remettre en question et je n'aurais probablement pas survécu à sa montée en grade. Pas plus que l'Ordre en fait…

Et c'est en soupirant à ces tristes pensées que je refermais le, somptueusement recouvert de dorures, traité d'art militaire sur lequel je sacrifiais ma nuit.

Ithyrill avait disparu et pourtant sa volonté de mener au plus vite l'assaut sur Enkidiev semblait lui avoir survécu. Quelques heures après le lever du jour allait débuter le tout premier conseil de guerre de l'invasion d'Enkidiev. L'Ordre souhaitait envoyé des éclaireurs sur le continent pour préparer sa future invasion et les Chevaliers s'étaient bien sûr tous porté volontaires pour la mission. Bonne volonté qui fut immédiatement suivit de féroces doutes sur notre capacité à mener cette mission au vu de nos maigres connaissances de la région. L'Empereur nous avait donc ouvert sa bibliothèque pour nos préparatifs. Une douzaine de compilations de rapport d'espionnage, d'atlas, de traité historique sur les premières guerres et d'encyclopédies sur la civilisation Enkiev trônaient sur la large table d'ébène sur laquelle je m'étais assise. Une superbe carte du continent était accroché au mur parallèle à la tablée et j'avais déjà commencé à l'annoter dans la nuit.

Je m'étais honteusement rendu compte que je faisais partie des moins renseignés de l'Ordre au sujet de notre ennemi et rattrapait donc mon retard au sacrifice de ma nuit; tout comme la veille de l'examen final des élèves me souvenais-je avec nostalgie. J'avais au final abandonné mes recherches tant elles me paraissaient rébarbatives et m'étais successivement plongée dans « L'art du duel d'estoc » et « Siège et blocus », ouvrages passionnants écrits par l'ancien général Impérial des Homme-Lézard. Ces livres aux moins se montraient instructifs, je n'avais que faire de qui j'allais affronter, il me fallait savoir comment les vaincre. Les espions servaient à nous renseigner sur nos adversaires et étaient grassement payé pour cela, je n'allais pas m'enfiler tout leur vieux rapports alors qu'ils allaient nous en fournir de nouveaux avant la guerre.

C'est donc lasse et découragée que j'avais regardé le soleil se lever pliée contre le rebord d'une des étroites fenêtres de la bibliothèque. Les premiers rayons du jours commençaient à envelopper cette dernière d'une aura d'or et d'ébène, un spectacle délicieux qui remonta quelque peu mon moral en berne. Je me laissais parfois ainsi allez, quand je me savais seule mes tendances mélancoliques prenaient le pas sur ma volonté et je me retrouvais ainsi les bras ballants, dos voûté et épaules affaissées; à admirer la lumière du soleil sans aucun autre but que l'immobilisme.

Mais comme toujours ma rigueur reprenait le pas après ces quelques instants de flottement. Je jetais la cigarette que je fumais et me dirigea le port à nouveau fier et le visage fermé vers les bains. Une cheffe se devait bien d'être présentable. J'avais donc revêtit mon armure personnelle de commandante, la même base de cuir que celle des mes frères et sœurs mais noir, recouverte de dorures et surmontée de plaques supplémentaires, assemblées pour mimer la carapace d'une libellule. Un de ces élégants insecte, noir, or, et sculpté dans ce précieux métal était d'ailleurs accroché à mon épaulière droite. Le statut de cheffe de l'Ordre m'avait permis cette petite facétie et je ne m'étais toujours servis de cette armure que pour l’apparat jusqu'à présent, elle était pourtant parfaitement adaptée au combat; je la gardais pour une meilleure occasion. A ma ceinture ma rapière fétiche et une courte hache de lancer. L'allure d'une cheffe de guerre se devait d'être martiale après tout.

Une fois de retour dans la bibliothèque je me congratula d'avoir réussi à revenir ici avant que mes frères et sœurs ne se présentent. Je me gardai donc ces quelques instants de répit pour arranger mes cheveux trempés et poudrer légèrement mes yeux pour en effacer les cernes hideuses. Je m'étais à nouveau pliée dans l'encadrement de la fenêtre quand j'entendis les portes s'ouvrir pour faire passer le reste de l'Ordre. Je ne bougeai pour autant pas de ma fenêtre et accueillit mes camarades assise sur le rebord et la cigarette encore fumante. Un large et aimable sourire égaya mon visage quand Azkhalon, Abÿgäl et Elecia arrivèrent face à moi, j'étais soudainement devenu fraîche, enjouée et joviale. J'étais naturellement douée pour la comédie.

« Le bonjour mes sœurs, mon frère. Je tirais une longue bouffée de tabac. Merci à tous pour la ponctualité, je vais faire l'impasse sur l'ordre du jour, vous le connaissez tous. Je recrachais la fumée du coin de la bouche pour la diriger vers l'extérieur et pointa de ma cigarette la large table d'ébène recouverte de livres. J'ai rassemblé tout ce que nous avions sur le continent d'Enkidiev ici, des rapports d'espionnage aux cartes, que je pointais maintenant. De fait je vous propose de ne pas attendre et commencer par le principal... »

Je laissais ma phrase en suspens le temps de jeter ma cigarette et m'approcher de la carte.

« Voici Enkidiev, les frontières sont à jour, le relief aussi. Notre objectif est ici. Je pointais le central royaume d’Émeraude. Le royaume siège de l'Ordre ayant repoussé l'invasion des insectes. Toute la question est maintenant de savoir comment l'atteindre, où attaquer en premier. Devrions-nous saccager les côtes et asservir chaque royaume pour isoler Emeraude ? Serait-il plus judicieux de foncer droit, je traçais une ligne imaginaire du doigt entre Zénor et Émeraude, vers la principale menace ? Devons nous nous inquiéter des royaumes les plus Orientaux ? Et qu'en est-il des Elfes et des Fées. Voilà, selon moi les questions que nous devons nous poser. Mais trêve de monologue, si vous pensez que nous devrions nous en poser d'autres allez-y, si vous avez des suggestions allez-y.

Je fixais à tour de rôle les Chevaliers présent dans les yeux, m'arrêtant un instant sur chacun d'eux. Abÿgäl allait-elle entériner sa promotion en prenant la parole directement à ma suite ? Azkhalon allait-il au contraire s'évertuer à lui subtiliser ce droit ? Elecia allait-elle enfin me surprendre ? Les avancements de carrière étaient toujours source de conflits dans l'Empire, l'Ordre n'y avait jamais fait exception.
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15.10.17 3:12
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Aujourd'hui était un jour spécial. Un jour qui allait probablement entrer dans les mémoires de l'ordre comme celui ou les courageux chevalier d'Irianeth ont commencé à échafauder un plan d'invasion pour Enkidiev. Leur chef, Loka, leur avait donné rendez-vous dans la bibliothèque personnel de l'empereur pour discuter de l'invasion. Alors, le moment était enfin arrivé. La jeune femme mauve allait devoir finalement faire d'elle un véritable chevalier d'Irianeth. Cette simple pensée lui donnait la nausée, mais elle n'avait pas vraiment le choix. Ne pas venir à cette rencontre allait apporter une fois de plus la honte sur sa personne, elle ne le supporterait pas. Surtout depuis qu'Abygal était devenue sous-chef de leur ordre. Elle avait prit Elecia sous son aile, elle ne devait pas la décevoir. Du moins essayait-elle de sens convaincre.

Elle se leva donc lentement de son lit pour regarder autour d'elle. Sa petite chambre était remplie de fiole et de plante au diffèrent vertu. Certaine pouvait soigner, d'autre tuer. C'était l'un de ses seuls talents, aussi bien sens servir. Elle resta de longues minutes assis dans son lit, les yeux presque fermer, plonger dans ses pensées avant de finalement se lever. Elle enfila lentement son armure de l'ordre, l'ajustant parfaitement et peigna ses cheveux pour qu'il descende en longue vague. Elle prit quelques secondes pour s'admirer dans son miroir avant de sourire légèrement. Le grand jour était arrivé, il était temps pour elle de montrer qu'elle n'était pas qu'une simple guérisseuse fragile. Elle aurait aimé que ce soit vrai...

Elle prit son arc et son carquois remplie de flèches avant de se diriger vers la bibliothèque imperial. Elle ne croisa personne dans les couloirs, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Cela lui permettrait de rester seul avec ses pensées. Tous les scénarios possibles défilait dans sa tête, pour se préparer à toute éventualité. La jeune femme mauve espérait simplement ne pas passer pour une idiote devant tous ses frères et soeurs d'armes. C'est ainsi, avec ses pensées en tête qu'elle franchie la porte de la salle en silence. Elle était la première, Loka était déjà présente et lui adressa un sourire avant d'entrer, ce à quoi Elecia répondie par un sourire timide. Elle se plaça dans un coin de la salle et garda le silence, attendant le début de la rencontre.

Elle fronça les sourcils et grimaça un peu à l'odeur de sa cigarette, mais écouta le discourt de Loka sans en perdre un mot. Elle comprenait parfaitement les questions de son chef et son cerveau ce mit à tourner à plein régime. Qu'elle serait la meilleur solution pour envahir Irianeth. Son âme de guérisseuse cherchait surtout une façon de faire le moins de victime possible dans leur rang. Elle ne souhaitait pas tuer d'Enkiev, mais elle n'était pas stupide. Enkidiev était leur ennemi et il fallait le traiter de la sorte.

Si...si je puis me permettre... le mieux serait sans doute de prendre Zénor, ou n'importe qu'elle royaume côtier pour en faire une place forte... un avant-poste pour que nos troupes est un endroit ou... enfin... ce reposer et se soigner au besoin... enfin... je pense?

Elle avait dit cela d'une petite voix timide, mais suffisamment forte pour que les trois autres l'écoute. Lorsque leur regard ce posa sur elle, elle détourna la tête et baissa légèrement les yeux, un vieux réflexe.... Les vielles habitudes ont la peau dure. Elle se mordie les lèvres, mais elle avait commencé, aussi bien continuer. Surtout que le regard pèsent de Loka et Abygal la transperçait comme des poignards.

Puis... Si jamais nous prenons leurs territoires ainsi, il se rendront peut-être et nous n'auront pas à nous battre... Nous...nous pourrions ainsi éviter un bain de sang...
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17.10.17 23:21
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Ils étaient quatre présents, mais c'était sans doute suffisant, plus de chef en cuisine risquait de nuire à la qualité de la stratégie. Et puis, au besoin, ils pourraient en discuter avec les autres (en théorie il y a d'autres chevaliers, donc^^). Abÿgäl écouta sa cheffe, regarda la carte. Elle avait déjà étudié les documents, mais maintenant c'était différent, ils avaient un objectif.

« Lors des deux dernières guerres, Armacareth s'est surtout concentré sur ce royaume du Sud. Et les deux fois ce fut des échecs. Tenter une attaque de front pour se rendre au coeur du continent pourrait être dangereux. Nous ignorons comment ils ont fortifié et protégé leurs terres. Nous pourrions nous retrouver encerclé. »

Abÿgäl avait un don particulier pour localiser n'importe quel ou individu, trouver son chemin même en territoire hostile et inconnu. Cette magie subtile et aucunement utile sur un champs de bataille était très développé chez la fille de l'Empereur.

« Les elfes et les fées sont des créatures avec des capacités intéressantes. Les humains sont comme les humanoïdes, aucun don magique inné, plus facile à prendre par surprise, comparativement à ses deux races. Cependant, leur territoire sont au Nord, recouvert de forêt, on peut facilement y tendre piège et embuscade, nous pourrions plus facilement défendre ce terrain qu'un emplacement découvert. Si vous attaquons ces peuples et les massacrons rapidement, il restera des humains qui sont plus démunis. Nous devrions plutôt utiliser l'effet de surprise pour abattre ceux qui ont le pouvoir de nous percevoir ou d'affronter notre magie. »

Abÿ pointa donc la partie nord sur la carte. De plus, il y avait l'accès à la mer, la distance à parcourir avec Irianeth était plus courte et la frontière nord était un désert de neige et de glace. Asbeth avec les dragons et quelques autres créatures à l'époque avait massacrer les peuples qui y vivaient. Peut-être que personne y était retourné.

« Nous pourrions également choisir d'aller y faire un raide pour espionner. Plusieurs d'entre nous avons des capacités pour masquer notre présence, de même que les sorciers, sinon, nous pouvons faire appel à de simple espion, même enlever certains des habitants et leur faire dire ce que nous avons besoin d'information. »

Abÿgäl avait bien sur entendu ce que sa soeur Elecia avait dit, éviter un bain de sang... ne pas se battre. Abÿ aurait volontier lever les yeux aux ciels comme les humanoïdes faisaient, mais ses globes occulaires complètement noirs ne pouvaient pas vraiment exprimé ce genre de subtilité.

Elle se tourna vers elle, la dominante de sa taille - Abÿgäl était très grande pour une femelle après tout... et elle glissa un de ses longs doigts sous son menton pour attirer son attention.

« Je crois que tu as pas compris l'objectif, nous allons les tuer tous, et jusqu'au dernier. Aucun humain, elfe ou fée ne doit survivre. Leurs races seront annihilées. Si tu veux empoisonner tout leur continent c'est une idée, mais le plus efficace c'est de les vider de leur sang. »
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02.11.17 10:12
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Et voilà, le second de Loka avait disparu, c’était la catastrophe dans l’ordre, bla bla bla. Franchement, qu’est-ce qu’on en avait à foutre que cet imbécile ait disparu? Il a probablement été joué trop près des dragons et s’était fait bouffer. Tant mieux pour nous. Sauf que le problème, c’était que ca nous prenait un nouveau sous-chef, apparemment. Je voyais pas trop pourquoi, mais bon. Évidemment, l’empereur a nommé sa fille pour prendre ce rôle, surprise, surprise. En fait, à bien y penser, je me demandais même pourquoi elle n’avait pas eu le poste de chef en premier lieu. Mais bon, remarque, je m’en foutais un peu, tant qu’on me laissait tranquille, ca m’irait très bien.

Sauf que là, avec tout ce remus-ménage, je devais me lever tôt demain matin, car nous avions le premier conseil de guerre pour l’invasion d’Enkidiev… Je détestais me levée en même temps que le soleil. Mais si je voulais parvenir à mes fins, je devais faire acte de présence, quitte à ne faire que le minimum, comme toujours. Nous devions nous rendre dans la bibliothèque personnelle de l’empereur, où nous trouverions tous les ouvrages faisant référence à notre ennemi. Le matin de cette réunion arriva donc trop vite à mon goût et c’est avec paresse que je m’étais dirigée vers notre lieu de rencontre. Au moins, je n’étais pas en retard, c’était déjà ca de pris, on ne me le reprocherait pas cette fois-ci.

Loka nous attendait déjà, assis dans l’encadrement d’une fenêtre, cigarette à la bouche, comme à son habitude. Elle nous salua avant de fumer une nouvelle fois et nous remercia ensuite d’être à l’heure. Apparemment, elle avait déjà ramassé tout ce qui était utile à notre réunion. Après avoir jeté sa cigarette, elle s’attaqua à la carte et nous expliqua que les frontières et le relief était à jour. Au moins on se planterait pas en arrivant, c’était une bonne chose. Elle enchaina en nous expliquant que l’objectif, Emeraude, était au centre, qu’il fallait seulement savoir comment l’atteindre. Elle proposa plusieurs choix avant de nous demander si nous avions notre propre opinion à ce sujet.

À mon grand étonnement, ce fut Elecia qui parla la première, cette pauvre fillette mauve qui ne servait à nous guérir. Elle proposa de prendre Zénor pour en faire une place forte. Quel stupidité, meme moi je savais que c’était Zénor que Amecareth avait assiégé chaque fois qu’il avait voulu détruire Enkidiev et que ce fut un échec lamentable à chaque fois. Je me demandais vraiment ce qu’elle faisait dans l’ordre parfois. En plus, cette cruche continua en disant que peut-être ainsi, ils allaient se rendre et que nous n’aurions pas à nous battre et que l’on pourrait éviter ainsi un bain de sang… Non mais franchement. Bien sur, si je n’avais pas à me battre, c’était tant mieux, je détestais travailler, mais même moi je savais que nos ennemis devaient mourir.

Abygal parla à la suite d’Elecia afin de dire à quel point cette idée était ridicule puisque nous ignorions comment ils avaient protégés leurs terres suite à notre dernière invasion. Enfin quelqu’un de censé, elle n’avait pas été nommé sous-chef que pour son affiliation avec l’empereur finalement. Elle suggéra ensuite de s’attaquer aux elfes et aux fées, afin qu’il ne reste que les humains sans pouvoir. Elle suggéra d’aller au Nord pour débuter et d’envoyer espionner ceux qui avaient la capacité de masquer leur présence. Dieu merci, je n’avais pas ce pouvoir, je ne serais donc pas choisie pour faire partit de ce raid. Enfin je l’espérais, puisqu’étant humanoide, on aurait très bien pu m’obliger à y aller malgré tout.

Abygal s’était tournée vers Elecia pour lui parler suite à sa super idée d’éviter le bain de sang. Elle avait glissée un de ses long doigt sous son menton et lui avait expliqué que l’objectif était de tous les tuer. Il ne devait donc y avoir aucun survivant et le mieux était de les vider de leur sang, non pas de les empoisonner. Elle n’avait pas tord, bien au contraire, mais je crois qu’elle n’avait pas compris qu’Elecia ne parlait pas d’empoisonnement, elle ne voulait juste pas les tuer, tout simplement. Je ne fis pas part de ma réflexion aux autres cependant. S’ils n’avaient pas compris cela, ce n’était pas mon problème. Mais puisque je faisais partie de l’ordre, je me devais de participer un minimum, malheureusement.

- L’Idée de notre nouvelle sous-chef n’est pas mauvaise. Nous pourrions passer par les territoires enneigés et y situer notre base. Néanmoins, puisque nous ignorons s’ils sont de nouveau habités, il faudrait effectivement envoyer des éclaireurs. Si c’est inhabité, nous pourrons établir un campement sans difficultés, autrement il nous faudra établir un plan de bataille pour conquérir l’endroit sans toutefois alerter les royaumes avoisinants. Je crois également, tout comme notre sous-chef, que nous devons éviter Zénor, il est clair que c’est une perte de temps. Depuis les dernières invasions, ils ont sans doute fortifier leurs royaumes côtiers, ils ne sont pas stupide au point de n’avoir rien fait en ce sens depuis tout ce temps.
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