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Solveigh Aubreilhÿa de Fée

Solveigh
Solveigh
Reine de Fée
16.05.17 8:53
Solveigh
Solveigh Aubreilhÿa de Fée

Reine de Fée

157 ans (apparence : 25 ans) ♦ Fée
Solveigh est une jeune femme bienveillante, qui possède une aura apaisante et rassurante. Elle est cultivée et fait preuve d'une douceur et d'une délicatesse rare. Jamais elle ne hausse la voix ou encore, fait preuve d'avarice. Au contraire, Solveigh a le coeur sous la main. Timide de nature, même si elle le cache bien en général, elle devient immanquablement maladroite dans ces moments-là. Féminine jusqu'au bout des doigts, Solveigh est à la fois modeste et mystérieuse. Un trait de caractère qu'elle a sans conteste hérité de sa mère. Elle possède également une patience remarquable. Rien ne semble jamais la troubler, rien ne semble jamais l'énerver. Et pourtant, ce n'est pas faute de ne pas avoir de sentiment. Avec les années, elle a simplement appris à contrôler ses sentiments.

Solveigh, malgré les apparences, car elle essai de rester discrète un minimum a ce sujet, est une jeune femme romantique et passionnée. Elle reste néanmoins prudente dans tout ce qu'elle fait. De plus, elle n'en donne pas toujours l'impression, mais la reine est femme prévoyante qui possède un esprit vif et méticuleux. Elle peut même faire preuve d'une détermination et d'une froideur étonnante lorsqu'une situation l'exige réellement. Après tout, Solveigh reste une reine dévouée à son peuple et son royaume et ce, de la tête au pied.

Signe(s) particulier(s) : Comme toutes les fées, ou du moins comme tous ceux en ayant la descendance, Solveigh a des ailes. Les ailes de cette dernière sont translucides avec plusieurs reflets violacés.

Informations personnelles
Royaume d'origine : Le royaume de Fée
Royaume de résidence : Le royaume de Fée

Ce que ton personnage aime : Solveigh aime la chaleur du soleil, les rires, les fleurs, les gens, les sucreries, les attentions, ressentir des sentiments, se sentir utile et, naturellement, elle porte un grand sentiment d'attachement vis-à-vis les chevaux.

Ce que ton personnage n'aime pas : Elle n'aime pas les troubles-fêtes, les menteurs, les profiteurs et les manipulateurs.

Talent(s) et compétence(s) : La jeune femme possède les talents et compétences qu'on a bien voulu lui enseigner depuis son plus jeune âge et qui sont, semblerait-il, indispensable à ce qu'elle est aujourd'hui. Elle chante merveilleusement bien, elle sait jouer mélodieusement de la harpe, elle danse gracieusement et écrit parfaitement. On lui a également appris à faire preuve d'imagination et de stratagème afin de toujours être en mesure d'épauler correctement son futur époux en temps de guerre. Toutefois, elle n'excelle pas encore dans le domaine, elle le reconnaît alors elle n'hésite pas à demander conseiller à plus expérimenté qu'elle quand vient le temps de protéger le royaume.  

Faiblesse(s) et phobie(s) : Solveigh a peur de l'abandon et de la solitude. N'ayant jamais été réellement seul depuis sa naissance, elle redoute ce sentiment de solitude. De se fait, la reine devient quelque peu nerveuse lorsqu'elle se retrouve seule à un endroit.

Pouvoirs magiques
Solveigh ne possède que les pouvoirs raciaux des Fées. C'est-à-dire : la télépathie, l'empathie humaine / animale et l'illusion.

N'ayant jamais vraiment eu une véritable éducation magique, la reine ne contrôle pas ses pouvoirs à la perfection. Elle ne ferait peut-être pas un adversaire redoutable contre un magicien ou un chevalier, mais elle se débrouille néanmoins très bien.

Histoire de ton personnage
Son histoire commence le jour où son arrière grand-père, Adünakhôr, roi des fées et grand descendant de la Cité des Eaux du Sud, organisa une grande célébration pour célébrer l’anniversaire de son fils ainé, Fëanor. Bien qu’elle ne fut pas présente à ce grand évènement qui marqua le début d’une nouvelle ère pour son peuple, Solveigh est en position de vous la raconter comme si elle y avait assisté personnellement. Dès son plus jeune âge -et même encore aujourd’hui!- l’histoire de ses parents était de loin celle qu’elle préférait et heureusement pour la jeune fille, son grand-père n’eut de cesse de la lui raconter.

Le père de Solveigh, Fëanor, ne se réjouissait pas particulièrement de la célébration à venir. Si plusieurs y voyaient un jour festif où les rires allaient couler à flot, son père, lui, voyait le début d’une obligation qu’il ne se sentait pas encore prêt à accepter. Étant l’ainé de la famille, le trône lui revenait de droit. Adünakhôr n’avait aucun doute sur les capacités de son fils à prendre sa place sur le trône de Fée. Ce qui n’était pas le cas de ce dernier... En fait, Fëanor faisait partie des rares fées du royaume à être animé par un grand désir d’aventure.
Il voulait non seulement voyager afin de découvrir les tribus cachées de ses ancêtres, il voulait également découvrir les autres royaumes d’Enkidiev.

Malgré tout l’amour qu’il portait déjà à son peuple, le prince ainé ne voulait pas être assit sur le trône. Pas de suite, du moins. Il tenta a de nombreuse reprise de convaincre son père de poursuivre son œuvre, que le temps n’était pas venue pour lui de prendre l’héritage qui lui revenait. Et bien que Fëanor crut un instant réussir à faire changer d’avis Adünakhôr, il réalisa rapidement que tout n’était qu’une belle illusion qui s’était lui-même créer pour se protéger de ce qui l’attendait en réalité... « Tu vas avoir 297 ans, mon fils. J’aimerais que tu prennes ma place. S’il te plaît… Laisse-moi le temps d’apprécier ta présence sur notre trône et de voir mes petits enfants avant que je parte rejoindre nos ancêtres. » Avait alors dit son père.
Fëanor n’eut pas la force de lui dire non.

Les festivités eurent donc lieu dans le royaume de Fée. Tous et toutes vinrent à ce grand évènement où aurait également lieu le couronnement tant attendu du prince ainé. Accepter de prendre la place de son père fut d’ailleurs assez gratifiant pour Fëanor, car sans cela, les festivités n’auraient pas eu lieu et jamais le nouveau roi n’aurait rencontré la mère de Solveigh, Aubreilhÿa. Fille cadette des Damhnaïc, une des plus noble famille du royaume, cette dernière se présenta comme étant l’une des nouvelles dames de compagnie de la futur reine du roi. Aubreilhÿa était loin de se douter qu’en réalité, la nouvelle reine serait Elle !
Dès cette première rencontre et première danse qu’ils échangèrent, Fëanor comprit que sa place était finalement à Fée. Pour la première fois depuis des Lunes, il comprit que sa place était ici, auprès de cette charmante femme qu’il venait à peine de rencontrer et qu’il voulait soudainement chérir, protéger et aimer tout au long de sa vie.

Malgré sa fougue de jeunesse et ses quelques étourderie, les dieux ne semblèrent pas rancunier vis-à-vis Fëanor puisqu’ils lui offrirent le plus beau des présents : devenir père. Quelques mois après les festivités et son couronnement, les fiançailles du nouveau roi avec la cadette des Damhnaïc fut annoncé, suivit de près par l’annonce d’un futur nouveau né. Bien que le peuple se réjouissant grandement du bonheur qui régnait dans le royaume, nul n’était plus heureux que le roi et la reine en personne. Et ce bonheur s’accentua davantage plusieurs Lunes plus tard, lorsqu’une petite princesse poussa son tout premier cri. La joie qu’ils ressentirent fut indescriptible autant pour eux que pour ceux et celles présent à la naissance de la petite première.
Lorsqu’on demanda au couple royal le prénom de l’enfant, le roi et la reine s’échangèrent quelques regards tendres. Puis, doucement, le roi murmura : Solveigh Aubreilhÿa de Fée.

Durant les trois premières années de sa vie, Solveigh eut droit à toutes l’attention de ses parents. Grandissant dans l’amour et l’union d’un père et d’une mère soudée et à l’écoute des autres, la princesse, malgré son jeune âge, développa une forte sensibilité aux émotions qui l’entouraient. C’est pourquoi, lorsque ses parents lui apprirent qu’elle aurait prochainement un frère ou une sœur, elle sauta littéralement de joie. Si chez quelques enfants royaux l’arriver d’un frère ou d’une sœur était comparable à l’arriver d’une potentielle menace, Solveigh, elle, voyait les choses différemment. La princesse anticipait déjà toutes l’aide qu’elle pourrait apporter à ses parents, ainsi que tous les mauvais coups qu’elle pourrait montrer au cadet de la famille. Toutefois, lorsque son petit frère et sa sœur -des jumeaux- virent le jour, ses plans changèrent rapidement.
Désormais âgé de quatre ans, Solveigh en étonna plus d’un en devant très choyant envers eux.  

Les jumeaux ne furent pas les derniers enfants du roi et de la reine. Quelques années après cette deuxième naissance royale, une autre naissance eu lieu, suivit d’une autre et encore une autre. L’espérance de vie des fées étant fabuleusement grande et le couple royal s’aimant toujours aussi passionnément qu’au premier jour, Solveigh trouva le bonheur absolu non seulement auprès de ses parents, mais également auprès de plusieurs frères et sœurs.

Et puis, Rozabelle était là elle aussi ! Venue tout droit du royaume d’Émeraude, cette dernière démontra au magicien de Fée la raison du pourquoi que le magicien du royaume le plus influent de tout Enkidiev l’avait envoyer ici. Aussitôt, malgré le jeune âge de la jeune fille désirant devenir apprentie-magicienne, Solveigh et elle devinrent inséparable ! De manière tout à fait naturelle, Rozabelle devint comme une sœur pour Solveigh. Elle était, en quelque sorte, du moins aux yeux de la princesse et de ses proches, la pupille royale de cette dernière.

La princesse ainé n’aurait sut quoi demander de plus aux dieux pour être davantage heureuse.  

L’enfance de Solveigh se passa sans embuche majeure. Étant d’un tempérament très calme, la princesse n’attira jamais les foudres de ses parents, ni même du magicien du royaume qui s’efforçait tant bien que mal à développer les pouvoirs raciaux de cette dernière. En effet, si Solveigh démontrait un fort potentiel concernant son pouvoir d’empathie, elle n’était malheureusement pas animer par l’envie d’amplifier ce pouvoir. Ni aucun d’autre d’ailleurs. « Je ne suis pas née pour être magicienne. Je vous laisse ce titre honorifique si vous me laissez être un jour votre reine. »
Une nouvelle qui attrista certes le magicien -qui voyait en elle un grand potentiel- mais qui fit toutefois la fierté de ses parents.

Vers l’âge de trente-cinq ans, Solveigh eut la chance de découvrir quelles étaient les véritables responsabilités de son père et sa mère. Elle se doutait bien qu’être roi ou reine d’un royaume n’était pas chose aisé, mais elle était loin d’imaginer que la liste des responsabilités serait aussi longue et imposante. Ce recensement d’implication envers le royaume ne démoralisa toutefois pas la princesse. Si d’un sens Solveigh voulait faire honneur à ses parents, elle voulait avant tout faire honneur à son peuple en démontrant qu’elle était en mesure de répondre à leurs attentes.
Malgré quelques échecs - personne n’est parfait du début! - l’héritière démontra une réellement détermination, ainsi qu’une grande motivation à être un jour : reine de Fée.

À peine quelques années après son initiation à la politique et aux responsabilités royales, Solveigh, suivant les conseils des conseillers et désirant une fois de plus démontrer à ses parents et à son peuple que l’avenir de Fée est toujours d’une grande importance pour elle, agréa à la demande d’alliance du royaume de Rubis en acceptant de s’unir à Adanedhel, pupille royale du royaume voisin. La décision de l’héritière en surprit plus d’un et malgré la réticence de ses parents concernant son choix, ils ne tentèrent pas de la dissuader. Après tout, Solveigh devait vivre sa propre vie, ainsi que ses propres expériences.

Les fiançailles furent de ce fait annoncées, mais aucune date ne fut officiellement dévoilée puisqu’aucun d’eux ne s’étaient auparavant rencontrée. Pour cela, le prétendant au trône fut invité à venir célébrer cette éventuelle union et première rencontre à Fée. Invitation que le roi de Rubis s’empressa d’accepter !
Lorsque Adanedhel et Solveigh se rencontrèrent pour la première fois, cette dernière fut grandement déstabilisée par le comportement familier de ce dernier à son égard. N’ayant jamais été habitué à tant de proximité, Solveigh, malgré le fait qu’ils se voyaient pour la première fois, se fit rapidement une idée de ce qui l’attendait. En sentant la peur s’emparer d’elle, Solveigh se referma instinctivement sur elle-même… Pour la toute première fois -à l’âge de quarante ans-, la princesse démontra une attitude froide et distante. D’ailleurs, se fut sans gêne qu’elle quitta les festivités pour rejoindre ses apparentements.

Si d’autres auraient été découragés par le comportement de Solveigh, Adanedhel, lui, ne baissa pas les bras. Si de son côté l’héritière du trône affirmait ne pas avoir ressenti un quelconque sentiment d’attachement durant cette soirée, ce dernier ne pouvait pas en dire autant… C’est pourquoi, durant plusieurs jours, il tenta de s’excuser auprès de Solveigh en lui laissant maints lettres et fleurs au pied de sa porte. Dans chacune de ses lettres, il employa plusieurs mots pour lui expliquer qu’il regrettait sincèrement ses gestes et surtout, pour lui expliquer qu’aucuns d’eux n’avaient été posés dans le but de la rendent mal alaise. Il tenta également de lui expliquer que dans son royaume, les coutumes et approches n’étaient pas les mêmes, mais qu’il aurait dû prendre le temps de se renseigner sur son mode de vie à elle avant d’arriver dans son royaume.
Plusieurs tentèrent de convaincre la pupille royale du royaume de Rubis d’abandonner, mais ce dernier refusa à chaque fois. Il ne voulait pas que les choses reste ainsi…

Vis-à-vis tant de franchise et de détermination de la part d’Adanedhel, Solveigh n’eut ni la force et ni l’envie de l’ignorer plus longtemps. Elle-même, d’une certaine façon, regrettait son propre comportement. Elle était aussi fautive que lui dans cette histoire, car elle savait depuis le tout début qu’accepter cette alliance impliquerait de faire face à des changements. Elle avait simplement sous-estimé l’ampleur des changements.
Lorsqu’elle le rencontra une seconde fois, elle ne lui cacha pas ses inquiétudes et se montra d’une grande honnêteté. Malgré la gêne qu’elle ressentait continuellement en présence de cet homme au sang d’elfe, elle lui expliqua que l’attitude familière de ce dernier l’avait terriblement déstabilisé le soir des festivités et que c’était pour cela qu’elle avait réagit aussi démesurément à ses agissements. Elle prit également le temps de lui dire comment elle voyait cette alliance entre les deux royaumes et surtout, ce qu’elle avait en tête pour l’avenir de son royaume.  
À son grand soulagement, Adanedhel s’expliqua également. Non seulement il lui pardonna ses gestes tout en s’excusant lui-même des siens, mais se fut également sans gêne qu’il lui annonça pourquoi il avait accepter l’alliance. Si Solveigh, elle, le faisait pour démontrer qu’elle était à la hauteur des attentes de son peuple, Adanedhel, lui, avait accepter l’union afin de remercier le roi de Rubis de lui avoir donner la vie qu’il avait aujourd’hui, car sans lui, il serait encore un orphelin.

Après une nuit entière à discuter de tout et de rien et à partager leurs opinions sur divers sujets, ils annoncèrent officiellement à leur famille respective que l’union aurait bel et bien lieu, mais qu’ils souhaitaient cependant prendre le temps d’apprendre à se connaitre un minimum. Aucun d’eux ne pouvaient pressentir si oui un non il y allait avoir des sentiments entre eux un jour, mais ils ne voulaient pas prendre le risque de mal faire les choses cette fois, car la réputation de deux royaumes étaient désormais en jeu. Il ne s’agissait plus d’une simple rencontre durant des festivités, mais d’éventuels changements politique qui influenceraient les deux royaumes.

Plusieurs lunes passèrent depuis leurs annonces et comme promis, ils apprirent a se connaitre. Si au départ Solveigh prétendait ne rien ressentir, elle ne pouvait plus en dire autant maintenant. Petit à petit, Adanedhel avait eu raison de toutes ses protections. En présence de cet homme, la princesse commençait de plus en plus à perdre ses moyens et durant un bref instant, elle crut qu’il en était de même pour la pupille du royaume de Rubis…
L’amour et l’espoir qu’elle pensait avoir enfin trouver lui glissa d’entre les mains le jour où elle reçu une missive de la part d’Adanedhel lui demandant de venir le rejoindre à la nuit tomber.
Aussitôt, elle se précipita dans ses appartements afin de s’assurer que sa tenue était présentable. Elle discuta longuement avec son amie Rozabelle et, envahi par tant d’émotion, lui dévoila finalement tout ce qu’elle ressentait vis-à-vis son amant.

Lorsque la nuit tomba, Solveigh quitta le château et se dirigea tranquillement à l’endroit indiqué par Adanedhel dans sa lettre. Son cœur ne fit qu’un bond dans sa poitrine et l’air lui manqua lorsqu’elle arriva sur place. « Part avant qu’elle n’arrive, ma douce. » Solveigh fut incapable de prononcer le moindre mot, elle fut même incapable de faire un pas de plus. Savait-il seulement qu’elle était là ? Oui, probablement… Il devait savoir ou au minimum se douter qu’elle était là ?
Lorsqu’elle l’entendit s’approcher, Solveigh recula hâtivement. Lorsque son regard embrouillé de larme croisa celui d’Adanedhel, celui-ci comprit immédiatement qu’elle avait tout entendu.
Quelques mots franchirent les lèvres de ce dernier, mais ceux-ci ne furent qu’un murmure pour l’héritière qui avait déjà sur le chemin du retour.  

Le lendemain matin, après avoir sécher ses larmes et cacher sa peine derrière des murs et des murs de colère, Solveigh annonça respectueusement à sa famille et au peuple que les fiançailles étaient malheureusement annulés. Lorsque ses parents cherchèrent à comprendre les raisons de ce soudain changement de décision, elle leur expliqua simplement que la pupille de Rubis et elle ne voyait pas les choses de la même façon et que cette union, au final, n’était pas bénéfique ni pour leur royaume, ni pour le leur.
Le roi de Rubis, tant qu’à lui, se tourna vers Adanedhel pour comprendre ce qui était en train de se passer. Ce dernier détourna simplement le regard avant d’annoncer à son protecteur qu’il était temps pour eux de retourner à Rubis.
Tandis que que Fëanor et Aubreilhÿa raccompagnèrent leur invité, Solveigh, elle, alla rejoindre Rozabelle dans la tour des mages.
Elle crut sentir le regard d’Adanedhel sur elle, mais elle ne se retourna pas et marcha fièrement droit devant.

Durant les cents-quatorze ans qui suivirent la venue de la royauté de Rubis à Fée, Solveigh resta auprès de sa famille. Plus particulièrement auprès de son père. Ce qu’elle avait vécu avec la pupille de Rubis lui avait fait réaliser une chose : elle n’était pas encore prête à être la reine du royaume de Fée. Elle avait peut-être les connaissances et le dévouement nécessaire pour l’être, mais guère l’expérience.
Le temps lui avait fait également comprendre que sa place, elle seule pouvait la faire et que toute chute était une expérience de plus pour elle. C’est pourquoi, malgré les évènements, elle ne passa pas ses cents-quatorze années dans le déni ou le chagrin. Au contraire, Solveigh se montra étonnement forte.

Le seul moment durant toute ses années où elle laissa de nouveau transparaitre la peine qui l’envahissait fut lorsque son père tomba gravement malade…

Les proches de la famille royale, épaulée par les magiciens du royaume, tentèrent de trouver un remède pour soigner le roi. Malheureusement, après plusieurs mois et malgré les bons soins des magiciens, Fëanor alla rejoindre son père, Adünakhôr, ainsi que ses ancêtres.
Lorsque Solveigh chercha le regard de sa mère afin d’y trouver un peu de réconfort, elle comprit les paroles muettes de cette dernière. Aujourd’hui, Solveigh n’était plus une princesse… Elle était désormais la reine de Fée.

Le temps était venue pour elle de prendre l’héritage que son père lui octroyait.

Aujourd’hui, Solveigh est la reine de Fée depuis trois ans. Elle n’est peut-être pas la plus reconnu d’Enkidiev, mais elle se montre néanmoins digne de ses ancêtres. À l’écoute de son peuple, Solveigh est une reine dévouée qui serait prête à faire tout ce qui est en son pouvoir pour protéger les siens.

Ambition(s) / Intention(s) : Être une bonne reine pour son peuple et le royaume.
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Kirëanie
Kirëanie
Chef des chevaliers d'Émeraude
16.07.17 16:29
Kirëanie
Présentation acceptée

Tu as désormais accès à l'intégralité de la section rp
Fées aura désormais une reine pour son peuple ! À bientôt Solveigh Aubreilhÿa de Fée 610061771
Amuse-toi bien ! <3
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Häastrial Venceslas
Häastrial Venceslas
Empereur noir d'Irianeth
24.07.17 17:27
Häastrial Venceslas
Présentation en reconstruction

Demande de changement / modification acceptée !
Suite à ta demande dans la section Demandes et suggestions, voici ta présentation pour que l'histoire soit retravaillée.

Simplement nous aviser lorsque tu auras terminé. Solveigh Aubreilhÿa de Fée 3386804651
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Solveigh
Solveigh
Reine de Fée
08.08.17 11:14
Solveigh
Bonjour Solveigh Aubreilhÿa de Fée 3386804651
Simplement pour vous dire que j'ai terminé l'histoire de ma reine.
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Kirëanie
Kirëanie
Chef des chevaliers d'Émeraude
08.08.17 11:35
Kirëanie
Je viens de terminer de lire et ... j'ai hâte de voir la suite !!!  Solveigh Aubreilhÿa de Fée 3386804651

Comme discuté en privé, le prédéfini du pupille de Rubis sera créé prochainement. Wink

Je transfert de nouveau dans la section des présentations approuvées.
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